Pendant plus de deux heures, avec sa simplicité foutraque et son humour bonhomme, Gustave a captivé son auditoire dans son style tout à lui, délivrant sans effet de manche un discours d’une intégrité intellectuelle et artistique sans faille.

Cet homme qui, avec Benoît Delépine, dézingue depuis trente ans les hypocrisies du monde, cache derrière sa peinture au Beaujolais de la comédie humaine une tendresse authentique pour la loufoquerie poétique des vraies gens.

À coup d’anecdotes hilarantes et d’autodérision, il nous a fait oublier sans effort les charmes paresseux du tricot netflixien. Oui, définitivement, si tu es resté(e) chez toi, tu as raté quelque chose !

À suivre dès qu’il sera en ligne : le podcast de l’évènement que nous ne manquerons pas de partager avec toi…